LES ALLERGIES SAISONNIÈRES

Pour la plupart des personnes affectées, les symptômes associés aux allergies saisonnières perdurent entre cinq et six semaines, entre le mois d’août et les premières gelées d’automne. La durée est d’ailleurs un excellent indicateur pour savoir s’il s’agit d’allergies saisonnières , d’un simple rhume, d’une grippe ou d’un autre virus.

Le nez, les yeux, la gorge et la bouche sont des zones très propices aux réactions allergiques. Le pollen, lorsqu’il y pénètre, provoque une réponse du système immunitaire, lequel tend à produire des anti-corps pour se protéger. Il s’ensuit des éternuements et des écoulements nasaux, des larmoiements, de la toux, des démangeaisons et des maux de tête, entre autres.

En atteignant les bronches, les muscles se contractent et rendent difficile le passage de l’air, d’où les problèmes respiratoires qui peuvent également en découler. Un contact continu des bronches avec le pollen peut même, chez certaines personnes, déclencher de l’asthme ainsi qu’une toux tenace dans la matinée et durant la nuit. Ce problème devient particulièrement préoccupant lorsque c’est un enfant qui est en cause.

Généralement, les allergies se déclarent avant l’âge de dix ans, mais il peut aussi arriver que certains adultes développent tout à coup une réaction aux grains de pollen.

LE SAVIEZ-VOUS ?

* Les allergies saisonnières sont responsables de 500 000 jours de repos au lit?

* Elles sont à l’origine de 400 000 jours d’absence scolaire et professionnelle?

* Causent plus de ravages au Québec que dans les autres provinces canadiennes?

Alors si vous avez ces symptômes il est possible que se soit dû aux allergies saisonnières. Pour ma part je les ai depuis les 50 dernières années entre août et septembre. Si vous me rencontrez et que j’éternue, pas de panique j’ai des allergies… Atchoum!